Vous avez subi un accident vasculaire cérébral ou une lésion médullaire, souffrez de parkinson, sclérose en plaques ou autres troubles neurologiques et il vous est difficile de trouver une activité physique adaptée à vos capacités ? Nous vous proposons des séances dans le but d’améliorer votre autonomie, votre bien-être et votre qualité de vie.

Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Améliorer la qualité de vie (Barnault et Dutruel, 2016)
  • Augmenter la force musculaire, l’équilibre, la coordination et les capacités cardiorespiratoires (Barnault et Dutruel, 2016)
  • Diminuer le risque de chute (Depiesse et Coste, 2016)
  • Améliorer le sommeil et l’humeur (Depiesse et Coste, 2016)
  • Améliorer les capacités fonctionnelles et donc la capacité à effectuer les activités de la vie quotidienne (Depiesse et Coste, 2016)
Activités sportives avec des balles en mousse afin d'améliorer la force musculaire et les capacités fonctionnelles de personnes atteintes de troubles neurologiques

Parkinson

Dans le cas particulier de la maladie de Parkinson, l’activité physique permet notamment de : 

  • Améliorer les paramètres de la marche, l’équilibre, la force musculaire et l’endurance (Speelman et al., 2011)
  • Améliorer la mobilité, l’amplitude de mouvement et réduire la rigidité (Depiesse et Coste, 2016). 
  • Diminuer l’instabilité posturale et la survenue de dyskinésies (Petzinger et al., 2010 ; Zigmond et al., 2012)
  • Réduire les tremblements et l’akinésie (Depiesse et Coste, 2016)
  • Diminuer les troubles de mémoire et d’attention (Depiesse et Coste, 2016)

Sclérose en plaques

Dans le cas particulier de la sclérose en plaques, l’activité physique permet notamment de : 

  • Améliorer l’endurance, la force musculaire, la mobilité, les paramètres de la marche, l’équilibre (Isner-Horobeti  et al., 2015)
  • Diminuer la fatigue (Isner-Horobeti  et al., 2015)
  • Améliorer la capacité à apprendre, la mémoire et l’attention (Beier et al., 2014)
  • Améliorer la proprioception neuromusculaire en stimulant la neuroplasticité (Depiesse et Coste, 2016)

Alzheimer

Dans le cas particulier de l’Alzheimer, l’activité physique permet notamment de : 

  • Lutter contre les troubles du comportement (dénutrition, trouble du sommeil, anxiété, agitation, agressivité) 
  • Lutter contre la dégénérescence des fonctions cognitives (Adamson et al., 2015)
  • Diminuer le déclin mental (Vercambre et al., 2011)
  • Améliorer les capacités d’attention, de vitesse de traitement, les fonctions exécutives et la mémoire (Smith et al., 2010)

Lésions médullaires

Dans le cas particulier d’une lésion médullaire, l’activité physique permet notamment de :

  • Réduire le risque de maladies cardio-métaboliques (Duran et al., 2001)
  • Diminuer les douleurs courantes aux épaules (Curtis et al., 1999)
  • Améliorer la santé et l’autonomie au quotidien (Duran et al., 2001)
  • Obtenir des bénéfices sociaux et sur l’estime de soi (Ginis et al., 2012)

Accident vasculaire cérébral (AVC)

Dans le cas particulier de l’AVC, l’activité physique permet notamment de : 

  • Lutter contre le déconditionnement (Billinger et al., 2014) 
  • Réduire le risque d’événements cardiovasculaires ultérieurs (Billinger et al., 2014)